La vindicte populaire continue au Togo. Le nombre des victimes de ces agissements immoraux et abjects est élevé chaque année. Pour le ministère des droits de l’homme, la pratique de ce crime doit cesser.
Selon les responsables de ce département ministériel, la pratique de la vindicte populaire est à bannir en ce que quelque fut le forfait d’un présumé auteur de vol, ou présumé auteur de crime, ce dernier bénéficie de la présomption d’innocence, et par conséquent, doit être remis à l’autorité judiciaire, seule habilitée à établir sa culpabilité et à décider de la punition appropriée que doit subir le présumé coupable.
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Généralement, les présumés auteurs de l’exaspération des populations face à la hausse de l’insécurité dans notre pays, sont lynchées, battues à mort et brulées vif sur la place publique, sans que ne soient formellement établies les preuves irréfutables de leur culpabilité.
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